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Paléolithique - Néolithique - Page 1 |
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Protégé par des parois abruptes au niveau de la cluse du Laizon, le paléorelief de la Brèche au Diable constituait un promontoire facile à défendre, propice à l’installation des hommes. |
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L’abri sous roche se trouve au sommet d’une pente boisée parsemée de gros blocs éboulés et à la base de l’escarpement abrupt formé par le Grès armoricain qui couronne le flanc sud du paléorelief . |
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Le toit de l’abri sous roche est formé par la face inférieure d’un banc de quartzite du Grès armoricain. |
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Accès à l’abri sous roche : monter dans la pente au niveau d’un gros bloc éboulé en bordure du chemin, à moins de 100m à l’Est de l’entrée de la cluse. |
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L’abri sous roche domine un bras du Laizon qui longe le paléorelief jusqu’à l’entrée de la cluse. Un gué permet de traverser le Laizon à ce niveau. |
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Blocs-polissoirs du Néolithique Au bord du Laizon, des rochers de Grès armoricain de forme tabulaire, à larges surfaces planes ont servi de polissoirs. La grande dureté de la roche, du quartzite aux propriétés abrasives, a permis d’utiliser celle-ci pour polir les pierres taillées (haches). A survoler |
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Sillons de polissage sur les blocs-polissoirs La surface plane polie est creusée de deux sillons formés par le frottement des silex lors de leur polissage. Une rainure de polissage étroite et des stries recoupent le sillon principal. A survoler |
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Autre table de polissage située dans le même site, au bord du Laizon La présence de plusieurs polissoirs indique que le site du Mont-Joly représentait un centre artisanal actif où les silex extraits des calcaires jurassiques étaient transformés en haches polies utilisées par les agriculteurs néolithiques. |
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