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Le plutonisme cadomien - La granodiorite du Thiébot |
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| Seul le revers sud de la Côte Soufflée est décrit dans cette page. Il correspond également à la paroi Nord de l'Anse du Cul-Rond. |
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Située au nord de l’anse du Cul-Rond, la Côte Soufflée est constituée en majeure partie par la granodiorite du Thiébot ; les parties basses ne sont pas accessibles à marée haute. |
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La granodiorite du Thiébot affleure dans la haute falaise massive et abrupte sur toute la hauteur du versant et elle se prolonge à droite (vers l’est) où un petit col permet le passage du chemin d’accès à l’anse ; à gauche (vers l’ouest), la granodiorite est en contact par faille avec les orthogneiss roses de l’Icartien. Au premier plan, les rochers du haut estran sont constitués aussi de granodiorite. |
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La granodiorite du Thiébot de la falaise massive de la Côte Soufflée se situe dans le prolongement des rochers gris du haut estran, constitués aussi de granodiorite. La continuité est masquée par le sable et les galets. |
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Le contact par faille entre la granodiorite (à droite) et les orthogneiss icartiens (à gauche) est bien visible dans la falaise de la Côte Soufflée ; il peut se suivre aussi sur l’estran rocheux. Il est en partie masqué par des galets et les rochers épars. |
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Dans le flanc sud de la Côte Soufflée, la granodiorite du Thiébot est gneissifiée comme en témoigne la foliation soulignée par d’abondants lits blancs, quartzofelspathiques, riches en albite. |
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Dans la haute falaise de la Côte Soufflée, la granodiorite du Thiébot est traversée par un filon subvertical de lamprophyre (roche très riche en minéraux ferromagnésiens), de couleur rouille, mis en place à la fin de l’orogenèse varisque. |
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Une surface à cannelures et stries subhorizontales est visible, dans la granodiorite, depuis le chemin qui descend à l’anse du Cul-Rond. Elle témoigne du jeu d’un accident tectonique du type décrochement (âge non précisé). A survoler |
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Le plutonisme cadomien - La granodiorite du Thiébot |
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