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L'Oolithe ferrugineuse
aalénienne est représentée ici par un
double pavage d'oncolithes ferrugineux de grande taille. Elle
repose sur le Calcaire à ammonites du Toarcien
et elle est surmontée par le premier banc calcaire, gris
clair de la Malière. |
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Le pavage d'oncolithes
ferrugineux repose sur une surface d'érosion.
Celle-ci tronque le Calcaire à grains ferrugineux du Toarcien
terminal, elle est localement soulignée par un encroûtement
ferrugineux (visible sous la pointe du crayon). |
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Pavage
d'oncolithes ferrugineux
Un gros bloc isolé expose le pavage d'oncolithes ferrugineux
de l'Oolithe ferrugineuse aalénienne, vu de dessus.
Les oncolithes sont aplatis en galettes ; ils sont volumineux
: leur diamètre est de l'ordre de 10 cm en moyenne et
il peut atteindre 25 cm. Certains d'entre eux présentent
une surface écaillée qui révèle leur
structure en lames concentriques emboîtées. Les
oncolithes sont enrobés dans une matrice carbonatée
blanchâtre. |
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Le pavage d'oncolithes de
l'Oolithe ferrugineuse aalénienne repose sur une surface
d'érosion qui tronque le Calcaire à grains
ferrugineux du Toarcien supérieur. Ici, cette surface
est couverte par un enduit ferrugineux assez épais (visible
à gauche de la tête du marteau). Plus haut, à
gauche du manche du marteau, la section d'un oncolithe, de couleur
jaune, révèle un nucleus constitué par un
fragment de calcaire toarcien. La présence de calcaire
toarcien remanié dans les oncolithes confirme l'existence
d'une phase d'érosion qui a affecté le Toarcien
terminal. Cette phase d'érosion est à mettre en
relation avec la lacune biostratigraphique de la fin du Toarcien
(absence de deux sous-zones d'ammonites).
Photo double |
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Des oncolithes volumineux
aplatis en galettes, et des éléments ferruginisés
de plus petite taille, enrobés dans une matrice carbonatée
gris clair, reposent sur les calcaires jaunâtres érodés
du Toarcien supérieur.
Photo double |
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Oncolithe à
nucleus de calcaire toarcien
L'oncolithe s'est formé par dépôts
successifs de lamines ferrugineuses autour d'un fragment provenant
du démantèlement du banc de calcaire sous-jacent.
On reconnaît les oolithes ferrugineuses du Calcaire à
grains ferrugineux du Toarcien.
Photo double |
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Le joint irrégulier
séparant le calcaire jaunâtre (Toarcien) du niveau
gris clair à oncolithes (Aalénien) correspond à
la surface d'érosion qui matérialise la
limite entre le Toarcien et l'Aalénien.
Photo double |