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De nombreux terriers sont creusés
dans le banc supérieur qui forme une «marche» de l’estran. L’abondance des
terriers indique un ralentissement de la sédimentation.
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Détail d’une surface de banc
Des traces de bioturbation en « coup de balai »,
nommées zoophycos, sont fréquentes à la surface supérieure
du dernier banc des Couches de passage ; elles sont associées à
des perforations qui sont des ouvertures de terriers verticaux.
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Perforations à la surface du dernier banc des
Couches de passage
Cette surface, perforée et fortement bioturbée est identifiée
sous le nom de Surface de Port-en-Bessin 2.
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Surface de discontinuité
La surface terminale des Couches de passage est une surface de discontinuité,
identifiée sous le nom de Surface de Port-en-Bessin 2
; elle est caractérisée par de nombreuses traces de bioturbation
(Zoophycos, perforations), des ferruginisations et l’accumulation
de coquilles fossilisées (brachiopodes, bélemnites, ammonites…).
L’abondance de ces objets sédimentaires est en relation avec
un arrêt de la sédimentation.
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Bélemnites
La surface de discontinuité qui coiffe les Couches de passage est
riche en bélemnites (Belemnopsis bessina probablement ! ).
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Moulage d’ammonite à la surface d’un
banc du platier.
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Bois flotté fossilisé dans le banc supérieur
des Couches de passage.
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Bois flotté et Zoophycos (à gauche du
crayon) au sommet des couches de passage
L’alternance de bandes grises et beige correspond à différents
degrés d’oxydation, probablement en relation avec les diaclases
qui traversent le calcaire marneux. |